Dès 2003, EasyJet a desservi Toulouse d’abord au départ de Paris. Dix ans et huit millions de passagers plus tard, la low cost britannique ne se contente pas d’un rythme de croisière mais affiche une croissance à deux chiffres avec 16 destinations et 142 vols par semaine.
Dès 2003, EasyJet a desservi Toulouse d’abord au départ de Paris. Dix ans et huit millions de passagers plus tard, la low cost britannique ne se contente pas d’un rythme de croisière mais affiche une croissance à deux chiffres avec 16 destinations et 142 vols par semaine.
A la fin de cette année, EasyJet à Toulouse devrait totaliser 1,7 million de passagers en hausse de 27% par rapport à 2011. "La compagnie, avec 21% de parts de marché, est la deuxième de la plate-forme", se félicite Jean-Michel Vernhes, patron de l’aéroport de Toulouse-Blagnac. "Et notre taux de remplissage de 85% à 87% ainsi que les 30% de passagers affaires y sont supérieurs aux chiffres moyens des routes de la compagnie en Europe", renchérit François Bacchetta, directeur général d’EasyJet en France.
Les six nouvelles routes ouvertes au départ de Toulouse en mars dernier (Mulhouse, Bruxelles, Lille, Nice, Venise et Porto) ont apporté 140 000 passagers sur un total de 795 000 pendant cette période. Un Airbus A319 a été basé sur l’aéroport de la Ville rose, ce qui génère la création de 50 emplois locaux directs dont 36 de personnel navigant. Sans toutefois que de nouvelles lignes soient créées, un deuxième appareil va suivre pour offrir une meilleure qualité de service en permettant des départs tôt le matin de Toulouse et évitera à EasyJet les frais de découchés des navigants.
L’équipe d’EasyJet en a profité pour faire un premier bilan sur la base de Nice créée avec un avion comme à Toulouse en mars (en même temps que celles d’Air France). 1,5 million de passagers ont été transportés en six mois au départ de l’aéroport de la Côte d’Azur dont 205 000 grâce aux sept nouvelles lignes lancées à cette occasion.
A Nice, EasyJet, deuxième exploitant de la plate-forme avec 22% de parts de marché et 2,4 millions de passagers en 2011 dont de nombreux Britanniques, pourrait en devenir le premier opérateur à court terme si le rythme de croissance se maintient.
source : http://www.pros-du-tourisme.com