Le 5 mars 2010, juste après l’atterrissage en provenance de New York, le système automatique de dosage du freinage a bugué et la température de deux roues dde l'A380 effectuant le vol AF 007 est brutalement montée à 865 degrés.
Le 5 mars 2010, juste après l’atterrissage en provenance de New York, le système automatique de dosage du freinage a bugué et la température de deux roues dde l'A380 effectuant le vol AF 007 est brutalement montée à 865 degrés.
Appelés en renfort, les pompiers ont refroidi les jantes par ventilation afin de prévenir tout incendie. En réaction, peu reconnaissantes, ces dernières ont brutalement éjecté leurs écrous vers les soldats du feu. le service communication a joué la carte de la transparence, nous confirmant les faits. L’affaire serait prise très au sérieux par Airbus Industries et Air France. D'autant que lors de l'atterrissage à Sydney mercredi 31 mars 2010, les roues d'un Airbus A380 de la compagnie Qantas ont pris feu. "J'ai pensé qu'il y avait un crash sérieux", confie un employé de l'aéroport, horrifié par la vision des flammes sous la carlingue de l'avion. "Il y avait beaucoup de fumée et des gerbes d'étincelles", confirme un autre passager. Le pilote est parvenu à poser la machine sans heurts. Personne n'a été blessé. Qantas a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'incident, premier de ce type sur un Airbus A380 de la compagnie. Officiellement, "deux pneus ont été endommagés".
source : bakchich.info