A l’issue de la première réunion Bases Province le mercredi 13 novembre, Air France annonce programmer des réunions mais refuse d’entendre nos demandes. Le fond du problème reste que les bases ne reposent pas sur un projet industriel sérieux et viable.
A l’issue de la première réunion Bases Province le mercredi 13 novembre, Air France annonce programmer des réunions mais refuse d’entendre nos demandes. Le fond du problème reste que les bases ne reposent pas sur un projet industriel sérieux et viable.
Les 200 millions de pertes cumulés en attestent. Elles sont la démonstration que la recherche frénétique d’économie sur les couts, notamment salariaux, ne suffit pas à assurer la pérennité des bases.
La Direction utilise le procès qui ordonne l’arrêt de l’application de la « note de direction unilatérale » pour faire porter le chapeau de ce fiasco économique aux organisations syndicales, alors même que les conditions actuelles de rémunération ne permettent pas à terme de poursuivre l’activité.
Dans l’incapacité de nous présenter enfin un projet pour sauver les bases, la Direction ne chercherait –elle pas à utiliser ce jugement afin d’accélérer une fermeture programmée de longue date ?
Le SNPNC qui revendique des conditions identiques pour tous les PNC d’Air France n’assumera pas les erreurs stratégiques de nos managers et continuera à défendre jusqu’au bout le métier de PNC.