Il y a maintenant une semaine, un e-mail a été envoyé à la direction demandant une réunion de négociations concernant de nombreux sujets.
Comme à son habitude, la compagnie est restée muette.
Comme à son habitude la compagnie n’a que faire des soucis relatifs à ses employés. Comme à son habitude la compagnie ne pense qu’au business et à la productivité. Comme à son habitude la compagnie se fiche royalement de notre bien-être et notre santé.
Il est temps que ça cesse. Il est temps de leur faire comprendre que nous ne nous laisserons plus faire. Il est temps de leur montrer que nous existons et que nous savons être unis pour faire nous faire entendre.
Une preuve de plus est l’instauration des vols de nuit à Nantes.
Légalement, Volotea est obligé de consulter le CSE (qui sont les représentants des employés) avant de faire de tels changements de conditions de travail. Chose qu’ils n’ont pas faite. En faisant ça, ils sont non seulement dans l’illégalité la plus totale, mais en ne consultant pas le CSE, ils se moquent royalement de l’avis des employés (représentés par les membres du CSE).
Une fois de plus, il est temps de faire cesser cette politique d’ultra productivité au détriment de la vie et la santé mentale des employés.
Il est temps de nous faire entendre et de faire valoir nos droits. Soyons unis et faisons bloc face à la Direction.
L’équipe SNPNC Volotea
English version :
Dear colleagues,
A week ago, an e-mail was sent to management requesting a negotiation meeting on a number of issues.
As usual, the company remained silent. As usual the company does not care about the concerns of its employees.
As usual the company is only thinking about business and productivity. As usual the company doesn't care about our well-being and health.
It's time for this to stop. It's time to make them understand that we will not let it happen again. It is time to show them that we exist and that we know how to be united to make our voices heard.
One more proof is the introduction of night flights at Nantes.
Legally, Volotea is obliged to consult the CSE (who are the employees' representatives) before making such changes to working conditions. Which they did not do. By doing this, they are not only in total illegality, but by not consulting the CSE, they are making a mockery of the opinion of the employees (represented by the members of the CSE).
Once again, it is time to put an end to this policy of ultra-productivity to the detriment of the lives and mental health of employees.
It is time to make our voices heard and to assert our rights. Let's be united and stand up to management.
The SNPNC Volotea Team