Parmi les bonnes nouvelles espérées pour cette année figurent notamment un accord avec les personnels d'équipage en évitant une grève et une collaboration plus forte avec les compagnies Ethihad et Air Berlin, écrit de son côté Crédit Suisse, passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre avec un objectif de cours porté de 3,55 à 8,75 euros.
Parmi les bonnes nouvelles espérées pour cette année figurent notamment un accord avec les personnels d'équipage en évitant une grève et une collaboration plus forte avec les compagnies Ethihad et Air Berlin, écrit de son côté Crédit Suisse, passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre avec un objectif de cours porté de 3,55 à 8,75 euros.
L'action Air France-KLM signe lundi l'une des plus fortes progressions de l'indice SBF 120, à un plus haut de 18 mois, les analystes se montrant plus optimistes sur les résultats annuels que doit publier le groupe aérien franco-néerlandais le 22 février.
A 13h13, le titre gagne 4,46% à 8,456 euros, après avoir atteint 8,545 euros, son plus haut niveau depuis début août 2011. Le SBF 120 s'octroie 0,28% et l'indice Stoxx du secteur des transports et des loisirs en Europe 0,2%.
"On attend une perte importante pour 2012 mais bien moins lourde qu'envisagé précédemment", souligne dans une note Citigroup, qui a relevé son objectif de cours sur la valeur de 4,5 à 9,0 euros et retiré la mention "risque élevé".
Selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S, les analystes anticipent une perte avant intérêts et taxes (Ebit) de 318,6 millions d'euros pour 2012 et un bénéfice de 310,5 millions d'euros au titre de 2013.
Parmi les bonnes nouvelles espérées pour cette année figurent notamment un accord avec les personnels d'équipage en évitant une grève et une collaboration plus forte avec les compagnies Ethihad et Air Berlin, écrit de son côté Crédit Suisse, passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre avec un objectif de cours porté de 3,55 à 8,75 euros.
"Les perspectives de redressement se sont améliorées avec le plan de restructuration", ajoute Citigroup.
Le plan d'économies "Transform 2015" annoncé par le groupe franco-néerlandais l'an dernier vise ainsi à réduire sa dette en trois ans de deux milliards d'euros, pour la ramener fin 2014 à 4,5 milliards d'euros, et à réduire de 10% son coût unitaire hors carburant dans le même temps.
En décembre, le groupe avait dit viser une rentabilité de 6% à 8% en 2015, se rapprochant ainsi des niveaux de ses concurrentes dans un contexte de compétition accrue et de prix du pétrole élevés. (voir )
En termes de valorisation, le groupe franco-néerlandais se paye 4,6 fois son Ebitda et la moitié de sa valeur comptable, contre des multiples respectifs de 6,7 et 2,0 en moyenne pour le secteur aérien européen, montrent des données Thomson Reuters.
source : http://www.lesechos.fr/